Les changements récents dans les taux d’intérêt et les nouvelles mesures fiscales ont redessiné le paysage de l’investissement immobilier, notamment en matière de logement locatif.
L’immobilier reste marqué par des défis mais aussi par des opportunités. Avec une demande en hausse dans certaines zones urbaines et périphériques, le moment est idéal pour revoir ses stratégies d’investissement.
Dans cette édition, nous vous livrons un panorama des tendances et des solutions pour maximiser vos projets, qu’ils soient résidentiels ou commerciaux.
Les grandes villes retrouvent de l’attrait pour les investisseurs. Après une baisse d’engouement liée aux confinements et au télétravail, la demande de biens en centre-ville regagne en vigueur, particulièrement pour les appartements de petite et moyenne surface. En effet, les jeunes actifs et étudiants reviennent, dynamisant le marché locatif urbain. Une tendance intéressante pour les investisseurs cherchant à capitaliser sur des biens à forte rotation locative et en zones tendues.
Face aux enjeux environnementaux, les bâtiments à faible impact écologique gagnent en popularité auprès des acheteurs et locataires, particulièrement en zone urbaine dense. Nous explorons les certifications comme le label HQE et BREEAM, et les avantages fiscaux pour les investisseurs et promoteurs engagés dans une démarche durable. L’essor des toits végétalisés et des énergies renouvelables font aussi partie des éléments appréciés, un investissement qui s’aligne parfaitement avec les attentes des nouvelles générations.
Les dernières décisions de la Banque de France influent directement sur les taux d’emprunt, et de nouveaux dispositifs d’assouplissement sont apparus pour certains profils.
Bordeaux se distingue comme une des villes françaises les plus dynamiques pour l’investissement immobilier cette année. Forte de ses infrastructures modernes, de son attractivité touristique et d’un marché locatif en plein essor, la métropole girondine est idéale pour divers profils d’investisseurs.
Désormais (5 août 2024), les aides personnalisées au logement (APL) sont calculées en fonction des ressources des 12 derniers mois et non plus sur celle des revenus perçus deux ans plus tôt. De plus, les données personnelles sur les ressources des foyers seront actualisées automatiquement tous les trimestres. Cela impacte à la fois les locataires et les propriétaires bailleurs. Cette modification touche particulièrement les jeunes actifs et les étudiants, et peut influencer le taux d’occupation dans certaines zones.
Les villes périphériques, notamment autour de métropoles comme Paris, Lyon, et Marseille, sont en pleine mutation. Ces zones, autrefois délaissées, sont désormais des cibles de choix pour les primo-accédants et les investisseurs cherchant des prix abordables et un cadre de vie attractif.
Les propriétaires de biens commerciaux doivent aussi anticiper des changements réglementaires, notamment en matière de bail commercial. Révision des durées de bail, indexation des loyers, droits des locataires et propriétaires : préparez-vous aux évolutions à venir pour éviter les surprises en début d’année prochaine.
Dans notre série d’histoires clients, découvrez le parcours inspirant de Jean-Pierre, propriétaire d’un local commercial transformé en location de courte durée. Il partage ses astuces pour maximiser les revenus grâce à une rénovation judicieuse, des astuces de marketing, et l’intégration d’outils de gestion pour l’optimisation des réservations. Une leçon pratique pour ceux souhaitant rentabiliser des espaces atypiques.
Voici les éléments clés de son succès, avec des outils et astuces spécifiques :
Avec l’augmentation du coût de la vie et la recherche de flexibilité, la colocation et le co-living s’imposent comme des alternatives sérieuses, attirant jeunes actifs et étudiants.
Face à la demande croissante pour des logements abordables et flexibles, la colocation et le co-living se démarquent comme des investissements attrayants. Ces modèles offrent des rendements potentiels supérieurs aux locations classiques tout en diversifiant les risques locatifs.
Prenons l’exemple d’un investisseur ayant acheté un appartement de 90 m² dans le 11ème arrondissement de Paris, aménagé en colocation de 4 chambres. Avec un loyer de 850 € par chambre (tout inclus), il génère un revenu annuel brut de 40 800 € pour un investissement initial de 550 000 €. Son rendement brut s’établit à 7,4 %, soit bien au-dessus de la moyenne parisienne pour une location classique.
Un exemple à Lyon : avec un appartement de 120 m² aménagé en co-living, l’investisseur loue chaque chambre 700 € par mois, pour une rentabilité supérieure de 10 % par rapport à une location classique. La mutualisation des charges et la mise en place de services communs comme le ménage hebdomadaire augmentent l’attractivité du bien et garantissent un taux d’occupation élevé.
En conclusion, la fin de l’année 2024 offre une période stratégique pour vendre, avec une demande encore soutenue, des taux d’intérêt favorables pour les acheteurs et des avantages financiers significatifs pour les vendeurs. Pour ceux souhaitant optimiser leur patrimoine et se préparer pour les opportunités de 2025, vendre maintenant permet de tirer le meilleur parti de ce marché en mouvement.
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